think positive. je tenais à ma liberté même si

think positive. je tenais à ma liberté même si j'étais toute enfermée dedans. maintenant, je me sens pas trop mal là-bas. l'endroit est lumineux, bucolique, coquet. un monde odorant, sain, parfumé, artisanal. j'admire ceux qui savent ça: créer de bonnes choses pour les autres, faire partager leur art, sans tralala. je suis tombée sur une bonne taule qu'aurais-je fait de ces beaux jours sinon? l'écran! l'écran! l'écran! ma soit-disant créativité entièrement engloutie dans la luminescence. hier ici j'ai du y faire mes 15 heures, intensif rattrapage. ils doivent croire que je me drogue tellement j'ai les yeux rouges et l'air hâve, au retour du voyage nowhere town Quel voyage! faux amours fausses pistes et aussi: véritables éblouissements; et joie et véritable seule possibilité. le "rock" fait partie de l'histoire, une légende, un rêve américain, un road movie que chacun singe, pour l'attitude. la réalité: j'aurais jamais du vivre... j'ai pourtant plus 15 ans pour écrire ce genre de phrase, elle ne m'a jamais semblée aussi vraie. me sens tellement humiliée, une humiliation qui s'arrêtera qu'avec la mort (je l'espère, sans en être tout à fait sûre hélas. j'aimerais tant avoir la certitude des non-croyants, ce serait si facile se dire: il n'y rien après, si simple de régler la question de cette manière. hélas les 11:11 ils veillent, et les coïncidences aussi, elles sont toutes là, elles veillent et me surveillent) FUCK YOU ANGELS !!!

Comments

[wow]

"San Francisco" au début on rigole, puis à se le passer, et le passer et le passer, sa déchirance (uh?) vous enveloppe, la beauté de cette voix te déchire comme une nostalgie de là où tu n'iras jamais. en tout cas pas moi.