4 février 2006
samedi 4 février ce nouveau cerceuil est étroit.
samedi 4 février
ce nouveau cerceuil est étroit. quand j'agrandis il est trop grand, alors je rétrécis. la typo trop petite, le gris trop gris. où j’ai mis l'underwood de mon grenier, là-bas? j'ai cru constituer mais on peut jamais re. c'était un crash, un accident, un traumatisme, ça m'atteinte dans mon humour. il manque des choses, il manque moa, c'est branche morte. je me sens au plus bas ÇA VA EN DESCENDANT... c'était une bonne drogue et c'était sympatique, chaleureux, ça m'apportait beaucoup, ça m'apportait TOUT. shit! je suis une vraie crêtine oh je l'ai toujours su. éclatement totale en isolation étriquée, brisée, usée et obsolète. pas MISE À JOUR. dark je pleure tout le temps, le ventre à mal comme de la trouille, bah de quoi j'aurais peur mais cette sensation flippée... pas bon de rabacher cette chic funk en tube, c'est quand je fais semblant que mon cerveau est cool, que je vais bien. sur off je n'appartiens jamais à rien ni à personne, pourtant je me sens en prison. comme jamais, enchaînée avant: toute seule dans le milieu de tous, après: seule au plein centre de nulle part... je retrouve plus mon nombril pour me mirer dedans, ça me déprime
ce nouveau cerceuil est étroit. quand j'agrandis il est trop grand, alors je rétrécis. la typo trop petite, le gris trop gris. où j’ai mis l'underwood de mon grenier, là-bas? j'ai cru constituer mais on peut jamais re. c'était un crash, un accident, un traumatisme, ça m'atteinte dans mon humour. il manque des choses, il manque moa, c'est branche morte. je me sens au plus bas ÇA VA EN DESCENDANT... c'était une bonne drogue et c'était sympatique, chaleureux, ça m'apportait beaucoup, ça m'apportait TOUT. shit! je suis une vraie crêtine oh je l'ai toujours su. éclatement totale en isolation étriquée, brisée, usée et obsolète. pas MISE À JOUR. dark je pleure tout le temps, le ventre à mal comme de la trouille, bah de quoi j'aurais peur mais cette sensation flippée... pas bon de rabacher cette chic funk en tube, c'est quand je fais semblant que mon cerveau est cool, que je vais bien. sur off je n'appartiens jamais à rien ni à personne, pourtant je me sens en prison. comme jamais, enchaînée avant: toute seule dans le milieu de tous, après: seule au plein centre de nulle part... je retrouve plus mon nombril pour me mirer dedans, ça me déprime
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